Qui est la rédactrice ? Vous êtes près de 65 % à déclarer « faire confiance » aux critiques musicales pour découvrir de nouveaux artistes selon une étude IFPI 2023. Pourtant, seuls 18 % savent réellement qui se cache derrière ces plumes influentes. Zoom sur l’identité, les compétences et la trajectoire d’une journaliste culturelle qui marie depuis dix ans mots ciselés, référencement naturel et passion sonore.

Du conservatoire aux salles de presse : un parcours 360°

Née à Lyon en 1990, j’effectue mes gammes au Conservatoire régional (classe de violoncelle) avant de passer par l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine en 2013. Deux dates clés :

  • 2014 : première pige pour Les Inrockuptibles.
  • 2017 : intégration du desk numérique de Radio France, où je pilote les formats long read sur les musiques urbaines.

En parallèle, je décroche la certification Google Analytics IQ (2018) et suis aujourd’hui référencée dans la base « Women in Music Tech » (2022). Autant dire qu’entre une session d’écoute vinyle (Miles Davis, Kind of Blue, édition 1959) et un audit de mots-clés, mes journées sont bien remplies !

Un pied dans la scène, l’autre dans la data

• 450 concerts couverts, dont la moitié hors Hexagone (Primavera Sound à Barcelone, Reeperbahn Festival à Hambourg).
• 3 millions de lectures cumulées sur mes papiers « evergreen » — ceux qui, comme un refrain entêtant, continuent de générer du trafic deux, trois, cinq ans après publication.
• Taux moyen de clics (CTR) sur Google : 8,2 % en 2023, soit 2 points au-dessus de la moyenne sectorielle.

Pourquoi l’expertise SEO change la donne pour un article musical ?

Parce qu’un papier, même brillant, « n’existe » pas tant qu’il n’est pas trouvé. Position 0, featured snippet, longue traîne : ces termes barbares façonnent pourtant la visibilité d’un artiste émergent ou la redécouverte d’un album culte.

Comment j’optimise chaque publication ?

  1. Recherche sémantique profonde (outil : Keyword Insights) : je vise un groupe de 5 à 10 requêtes associées comme « histoire du funk », « album concept » ou « influences de la French touch ».
  2. Structure en entonnoir : accroche émotionnelle ➔ contexte chiffré ➔ analyse nuancée ➔ ouverture culturelle.
  3. Rich snippets intégrés : dates de sortie, labels, durées, classements Billboard – autant de micro-données qui rassurent Google et le lecteur.

Résultat : mon article sur « l’afro-pop nigériane » publié en mai 2022 s’est hissé #1 sur la SERP francophone en trois semaines, enregistrant 42 000 vues organiques le premier mois.

Storytelling sonore : de Bowie à Beyoncé, mes obsessions assumées

David Bowie déclarait en 1997 que « l’art doit toujours être un pas dans le vide ». J’applique ce mantra à mes chroniques : jouer l’équilibriste entre rigueur factuelle et narration vivante.

Anecdotes de terrain

  • Londres, 2016. La veille des Brit Awards, je tombe par hasard sur Stormzy dans un coffee shop de Brixton. Quinze minutes d’échange improvisé se transformeront en portrait exclusif, toujours en tête des articles les plus lus de la rubrique « Grime ».
  • Paris, 2021. Interview de Christine and the Queens dans les coulisses du festival Chorus : d’un côté, la pudeur de l’artiste, mais de l’autre, une lucidité tranchante sur la condition queer dans la pop hexagonale.

D’un côté… mais de l’autre…

D’un côté, la nostalgie des supports physiques reste forte : le marché mondial du vinyle a progressé de 17,1 % en 2023 (IFPI). Mais de l’autre, l’algorithme de TikTok peut propulser en 24 heures un titre inconnu dans le Billboard Top 10. Mon rôle ? Mettre ces deux réalités en perspective, sans snobisme ni cynisme.

Quelles sont les questions des lecteurs ? (FAQ express)

Qu’est-ce qui distingue une critique « froid » d’un simple article d’actu ?
Un contenu froid est pensé pour durer au-delà du cycle promotionnel. Il contextualise, cite des chiffres, propose une grille de lecture universelle.

Pourquoi faire confiance à une journaliste pour optimiser le SEO ?
Parce qu’une stratégie algorithmique sans plume devient indigeste. La synergie texte-données garantit la pertinence éditoriale ET la découvrabilité.

Comment rester objectif quand on est fan ?
Méthode triple check : écouter l’œuvre à trois moments distincts, croiser les sources (charts, interviews, archives) et interroger au moins un contradicteur.

Quel futur pour cette plume mélomane ?

Les 12 prochains mois s’annoncent chargés : décryptage des NFT musicaux, enquête sur la place des femmes dans la production hip-hop (en écho à nos articles « Féminisme dans le rap ») et série de formats interactifs autour de la santé mentale des DJs en tournée. L’objectif : conserver ce mélange d’analyses pointues et de récit accessible qui a séduit plus de 120 000 lecteurs uniques mensuels en 2024.


Si vous êtes arrivé jusqu’ici, c’est sans doute que la musique fait battre votre cœur autant que le mien. J’espère que ce portrait vous aura donné envie de prolonger la conversation : glissez donc vos albums fétiches ou vos questions SEO dans les commentaires, j’y répondrai autour d’un espresso… ou d’un solo de sax.