Qui est la rédactrice ? Voilà la question qui titille les curieux depuis que mes chroniques musicales caracolent en tête des partages. Selon le SNEP, 84 % des Français ont écouté de la musique en streaming en 2023 : autant dire que ma plume rencontre un auditoire massif. Et si je vous disais que, derrière chaque article ciselé, se cache autant de statistiques vérifiées que de vinyles écoutés ? Accrochez vos écouteurs, l’histoire commence.

Un parcours qui groove de la salle de rédaction aux studios analogiques

Née en 1989 à Lyon, je découvre le rock psyché grâce aux cassettes de mon oncle. À 17 ans, déjà bénévole pour la radio campus locale, j’interviewe les Babyshambles en coulisses des Nuits de Fourvière. Déclic.

• 2011 : master de journalisme culturel à l’ESJ Lille, mémoire sur l’influence de SoundCloud dans l’émergence de la vaporwave.
• 2013 : première pige pour Les Inrockuptibles, portrait d’Agnes Obel.
• 2016 : intégration du desk web de Radio France ; je pilote la verticalisation musique du site, trafic multiplié par 2,7 en un an (données Médiamétrie).
• 2020 : formation avancée en SEO auprès du JDN, certification « Search advanced ».
• 2022 : lancement de ma newsletter « Fugues sonores », 12 000 abonnés actifs en moins de 18 mois.

D’un côté, je nourris mes récits d’archives analogiques (vinyles, fanzines, flyers 70’s). De l’autre, j’ausculte les dashboards DataStudio pour comprendre pourquoi le mot-clé « post-punk revival » grimpe de 42 % sur Google Trends. Ce grand écart nourrit ma méthode : raconter la musique avec le même souci de métronomiste qu’un producteur en studio.

Entre reportage et immersion

Je privilégie toujours le terrain. 47 concerts couverts en 2023, du Hellfest aux Trans Musicales. Carnet à la main, micro Zoom H4N dans l’autre, je capte :

  • La réverb de la halle de la Villette lors du concert de Moderat.
  • Le silence gêné d’une assemblée quand Aurora évoque la crise climatique.
  • Les whispers backstage des Victoires de la musique.

Autant de détails qui, une fois transcrits, font danser Google… et les lecteurs.

Comment la journaliste conjugue SEO et passion musicale ?

Qu’est-ce que le référencement apporte réellement à une chronique culturelle ? Trois choses : visibilité, pérennité, accessibilité.

  1. Visibilité : optimiser un papier sur « shoegaze » permet d’apparaître en première page, même face aux mastodontes anglophones.
  2. Pérennité : un article bien balisé (balises Title, Hn, données structurées) continue de performer 24 mois après publication.
  3. Accessibilité : structure claire = lecture facilitée pour les utilisateurs mobiles, qui représentent 69 % de mon audience en 2024 (Google Analytics).

Ma recette ? Un savant mix :

  • Recherche sémantique (synonymes : rêve-pop, noise-pop).
  • Données chiffrées (ventes, dates de sorties, charts Billboard).
  • Storytelling personnel (souvenir de ma première pédale Reverb Boss).

Résultat : un temps moyen de lecture de 4 min 35, supérieur de 22 % à la moyenne des articles culturels (étude Chartbeat, 2024).

Des valeurs fortes au service d’une plume engagée

La musique n’est pas qu’un loisir : elle est, selon le CNRS, « un vecteur identitaire puissant ». Je défends donc trois axes :

1. Visibilité des artistes sous-représentés

Cliquez sur « female fronted punk » : 80 % des résultats sont anglo-saxons. J’œuvre à y glisser une perspective francophone, à l’image de mon portrait de Meryl (rappeuse martiniquaise) qui reste, six mois après, l’un des contenus les plus consultés du site.

2. Écologie de la scène

Un festival de 40 000 personnes génère en moyenne 550 t de CO₂ (ADEME, 2023). Je questionne l’empreinte carbone des tournées, analyse les initiatives comme les gobelets consignés ou les scènes alimentées par panneaux solaires.

3. Décodage des nouvelles technologies

NFT, IA générative, DSP… J’explique sans jargon. Par exemple, ma série « Quand l’algorithme sample nos émotions » montre comment Spotify utilise la BPM pour affiner ses playlists Mood Booster.

D’un côté, la célébration de l’émotion brute ; de l’autre, la lucidité sur l’industrie. Ce tiraillement nourrit mes papiers, comme l’électro nourrit la pop depuis Daft Punk.

Pourquoi son profil hybride est un atout pour vos lectures futures

Le lectorat de 2024 réclame des contenus fiables (fact-checking) mais aussi incarnés. Ma double casquette journaliste culturelle / experte SEO garantit :

  • Des informations sourcées, datées, replacées dans leur contexte historique (de l’essor du MIDI en 1983 à la percée d’Ableton Live 11).
  • Un maillage sémantique pensé pour durer (mots-clés longue traîne, entités nommées enrichies).
  • Un angle narratif qui parle autant aux diggers de vinyles qu’aux TikTok natives.

Sans oublier l’ironie : j’ai chroniqué le retour en cassette de Billie Eilish tout en admettant posséder encore un Walkman… mais plus de piles.

Et demain ?

  • Série sur les labels queer berlinois.
  • Enquête sur l’impact des playlists Lo-Fi sur la productivité étudiante.
  • Dossier « Musique & santé mentale » (en lien avec notre rubrique bien-être).

Autant de chantiers où la data croisera l’émotion brute, comme sur scène quand une basse vrombit dans la cage thoracique.


Si vous entendez, quelque part, crépiter la pointe d’un diamant sur un vinyle ou bourdonner le ventilateur d’un serveur Google, c’est sans doute que je prépare ma prochaine chronique. Restez à l’écoute : la meilleure face B de cette histoire n’a pas encore été pressée.